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la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%]

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Polwen N.Ferrell
Polwen N.Ferrell

Messages : 1
Rabbits : 2873
Date d'inscription : 16/05/2016
MessageSujet: la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%]   la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%] EmptySam 21 Mai - 11:49

Polwen N.Ferrell

Identity



Nom:Ferrell
Prénom(s) :Polwen Nyséas
Sexe :
Age :16 ans
Date de naissance :14 février
Orientation :Inconnu

Classe/travail : Classe 4-Niveau J

Nom alice :Kanōsei no uta
Type alice :Indéterminée
RTA :Technique
Je suis...
Adjectif 1+Cérébrale
Adjectif 2+Méticuleux
Adjectif 3+Attentionné
Adjectif 4 +Mélomane

Adjectif1-cynique
Adjectif2-Maniaque
Adjectif3-Insolent
Ajectif4-Cruel
Adjectif5-Ambigu
Anti-alice/ Confrérie Alpha/ Neutre:Anti-alice

Source de l'avatar :Nazuna Hito

Alice
-Tu as un alice ?
-Oui.
-Il se nomme ?

-Kanōsei no uta.

-Veux-tu présenter ton alice toi-même ?

-Demandez le à elle, j’ai envie de vomir rien que de penser au malheur qu’il sème.

- Son alice, nommée Kanōsei no uta, lui permet d’avoir ce qu’il souhaite pendant une durée indéterminé. Pour l’invoquer, il lui suffit juste de dire ce qu’il souhaite en chantonnant tout en tapant dans ses mains et du pied en même temps. Jusqu’ici, il n’a réussi qu’à invoquer des objets, mais peut-être est-il possible d’invoquer d’autres choses que matériel ?

-Je n’ai pas envie d’essayer, as-tu pensé au conséquences grave pour moi qu'il pourrait causer ?

- Voilà le souci. Malheureusement, il y a des conséquences à cet alice si « amusant » comme le fait d’être pris par de nombreuses douleurs et de blessures physiques lorsqu’il invoque quelque chose de mauvais ou de ne pouvoir parler sans y faire quoi que ce soit d’une durée aussi indéterminé que son alice.


Who I am?
Look at you...

-Dis, comment suis-je ?

-Hé bien tu es un jeune garçon de taille grande, légèrement androgyne.

-Androgyne ? Sérieusement ?

- Laisse-moi finir pauvre enfant dénué de respect.Tes cheveux blonds virant au roux, soigneusement coiffés la plupart du temps, luisent souvent sous les lumières et biens que parfois, tu songes profondément à te les couper court, voir très courts, tu aimes ta chevelure rappelant le soleil couchant. Cela ne ressemble-t-il pas un peu à ton caractère ? Les laissant souvent comme ils sont, tu les attaches parfois, lorsque ta longue frange te gêne à contrecœur. Possédant une peau assez pâle, tes yeux rouges aux lueurs rosés aux ressortent parfaitement, surtout avec cet air innocent mêlé à ta malice que tu possèdes. Possédant deux joues roses et des lèvres rosées, tu ressembles à une poupée de porcelaine, jusqu'à tes accoutrements soignés que tu prépare la veille, bien que parfois faussement négligés. Ayant une démarche assuré, tu étonnes plus d’un se fiant souvent à ton apparences plutôt frêle, augmentant ton amusement, en voyant à quels point certaines personnes pouvaient être vraiment stupide. Lorsque tu n'es pas de bonne humeur, tu marches souvent la tête baissé, en arborant un peu plus cet air angélique que tu as constamment involontairement, ce qui renforce ton côté de poupée de porcelaine, poussant à te croire innocent et dénué de malveillance.Un physique opposé à ton caractère d’enfant bien trop gâté, mise à part ta chevelure.

In my head...

-Polwen, présentes toi bon sang

-Je me nomme Polwen Nyséas Ferrell, 16 printemps attendant avec patience sa 17èmes années, je n’aime pas réellement vieillir, cela pourrait me changer.

Un peu de maturité ne te ferais pas mal

-La perfection est déjà en moi, sans me vanter.

-Bien si tu le dis. Continues s’il te plait

- Donc, pour représenter ma personnalité, autant dire que je ne suis qu’un simple jeune homme vivant sa vie avec tranquillité, ayant une intelligence innée. Certains me reprochent le fait d’être cynique, insolent et blasé, tout cela n’est que mensonges… Je plaisante, c’est la stricte vérité. Insolent hum… Comment l’expliquer ? Ah bien sûr, j’ai trouvé. L’insolence est un manque de respect, plus précisément à l’égard d’autrui et je l’avoue, c’est ce que je suis. L’insolence est un art, un art prouvant l’indépendance de celui qui l’utilise et montre à quel point l’utilisateur se contrefiche des remarques des autres en ne se posant aucune limite, n’est-ce pas magnifique ?

Qu’est-ce que tu racontes encore ?

- Chut et écoute-moi. Il est vrai que je suis cynique. Comment ne pas l’être en voyant tous les spécimens que la terre comporte en elle ? Le monde est raté, le monde est complètement pourri, respecter un tel déchet est pour moi un très gros souci.

Tu divagues là, ne serais-tu pas un peu cinglé ?


-Sans doute et je m’accepte comme je suis.

Bon hé bien je préférerais continuer à te décrire tu veux bien ?

-Fais le si tu ne me décris pas comme un bon à rien

Tu es un petit garçon méticuleux, toujours à faire les choses avec soin et y met de la patience sans limite. En plus d’être cela, tu es un jeune homme ayant pour passion la musique depuis que tu as appris à jouer batterie, guitare et chant, toujours à écouter et décrypter chaque son que tu entends sans t’en lasser. N’ayant pas de style particulier, souvent, tu découvres toujours un peu plus de son varié, bien que le classique est l’un de tes styles préférés. Blasé, tu ne donnes pas plus de respect à la vie et la terre qu’à un vulgaire déchet, écœuré de voir à quel point elles s’autodétruisent de jour en jour et que lorsque le moment viendra, il ne restera d’elles que poussière. Néanmoins, cela contraste avec ton côté optimiste qui t’aide à ne jamais baisser les bras et surtout, t’aide à rester en ce monde en attendant patiemment la fin de ton existence. Nombreux de tes connaissances te disent sans cœur et cruel, malheureusement, ceci est le cas. N'hésitant pas à t'en prendre à ton entourage lorsque tu t’ennuies et à les martyriser sans scrupules, tu en tires un plaisir indescriptible, te faisant rire et ressentir une grande fierté que seul toi puisses comprendre, ne te mettant aucune limite en ce qui concerne la cruauté, tu peux aller très loin si l'on ne t'arrête pas. Bien que semblant méchant, tu ne l’es pas totalement, être attentionné envers certaines personnes, cela t’arrive quelques fois, souvent à l’écoute et offrant ton épaule pour que l’on puisse y pleurer, on ne sait pas vraiment si tu es un être bon ou mauvais, ambigu, tu l’es, mais est-ce important ?

-Hum c'est parfait tu m'a bien présenté...Ah ! C'est quoi cette saleté ?!

-Oh j'oubliais ! Maniaque ! Rien que la vu d'un grin de poussière te dégoûte au plus haut point, la raison expliquant pour quoi tu détestes sortir à l'extérieur trouvant le monde bien trop "sale", ce qui forme bien la pairs avec ton côté blasé, n'est-ce pas?
Once upon a time

-Gakuen alice hein ?
***
-Joyeux anniversaire Polwen ! Tu as maintenant 6 ans, tu es grand garçon !

-Oui ! Je vais bientôt être un super adulte hein maman, hein papa ?!

Papa et maman firent oui de la tête, avec de grand sourire très joli qui fit un sourire sur mon petit visage ! J’étais très content, dans pas longtemps, je serais un grand homme, aussi grands que papa, aussi magnifique que maman et je montrerais à tous mes copains que je serais le meilleur des hommes, après papa bien sûr, lui c’est mon super-héros préféré pour toujours. Maman regard papa avec un regard bizarre que j’ai quand je fais des bêtises et partit avec le domestique de la salle pas longtemps et revint avec deux gros cadeaux que prit le vieux monsieur pour l’aider, je me mis donc à sauter tout content, l’anniversaire était le meilleur jour de ma vie. Elle mit les cadeaux sur le fauteuil avec monsieur le domestique puis marcha jusqu’à moi et me pris dans ses bras :

-Tu as été gâté de cadeaux encore une fois, mais j’aimerai que tu ouvres d’abord le mien et celui de ton papa, tu veux bien ?


Je fis oui de la tête, c’était toujours eux qui m’offraient les plus jolis cadeaux, parce que c’est mon papa et ma maman et c’est les meilleurs adultes. Elle me ramena le premier cadeau devant les autres invités tout souriant et me dis de l’ouvrir. Je déchirai le papier cadeau et ouvris, un drôle d’objet était dedans, je l’avais vu dans mon livre, c’était un « violon » je crois.

-Comme ça, tu vas pouvoir en faire et découvrir le monde de la musique ! Nous pensions au piano mais cela est bien trop banal et tout le monde force à faire de leurs enfants des pianistes, nous avons donc pris un violon !

Je souris et embrassas ma maman chéri sur la joue :

-Promis, je jouerais du violon !

-Monsieur Tsukinawa sera ton professeur de musique, ça te va ?


-Oui il est gentil !

Puis je prenai, oh c’est « pris » non ? Pardon, je pris mon deuxième cadeau et l’ouvris, une poupée ? Une poupée de fille ?

-Elle appartenait à ton arrière grand-mère, grand-mère Makina, elle tenait à te l’offrir avant de mourir, je n’ai jamais compris pourquoi, elle voulait aussi que tu lui donne un nom…

Je baissai les yeux vers la poupée et la regarda sans rien dire pour chercher un jolie prénom, oh je sais !

-Je vais l’appeler…Bellina ! C’était le prénom de mon amoureuse préférée !

-Je m’appelle donc Bellina, enchantée Polwen.

La poupée, elle parle ! Les invités poussèrent des exclamations comme mon papa alors que ma maman riait.

-Je comprends mieux à présent. Ta grand-mère pouvait donner vie aux objets inanimés, Bellina est là pour prendre soin de toi à mon avis, n’est-ce pas chéri ?

-Sans…doute.

Je ris alors, avant de serrer Bellina contre moi, elle serait ma plus grande petite amie, oui parce qu’elle est toute petite, elle et moi, on allait s’amuser pour toujours…
***
-Polwen bon sang que comptes-tu faire ?

Je lançai un bref regard à Bellina avant de reprendre mes activités tranquillement.

-Polwen ! Je refuse que tu donnes ce gâteau épicé à ta cousine, que diront tes parents ?
-« Oh mon ange, pourquoi as-tu fais ça ? Ce n’est pas bien ! » Et après tout redeviendra comme si rien ne s’était passé, ça te va comme réponse ?

Je mis la touche final à la part de charlotte aux fraises que j’avais préparée grâce à l’aide des chefs cuisiniers avant de le recouvrir d’un couvercle de verre afin de le donner à ma chère cousine adorée qui allait adorer le goût de ce gâteau plus ou moins original. Cela servait de venir d’une famille aisée, je remerciai mon père venant de Tokyo et ma douce mère venant de Finlande pour s’être rencontré et renforcer leurs richesses autant que leur amour. Une belle enfance, j’avais eu, aussi douce que le miel pourrais-je dire n’est-ce pas Bellina ? Oh j’oubliai qu’heureusement, tu ne pouvais lire dans mes pensées.

-Polwen Nyséas Ferrell, vous n’êtes qu’un enfant gâté et pire que la peste elle-même !

-La peste ? Oh voyons Bellina, tu es bien douce avec moi, je suis touché de la compassion que tu ressens à mon égard, moi Satan incarné ou simplement es-tu aveugle par l’amour que tu me porte ?

La taquinerie faisait partie de moi lorsqu’il s’agissait de cette poupée parfaite qui n’était pas qu’une vulgaire poupée pour moi, mais une deuxième mère. Cela faisait 6 ans que je l’avais reçu en guise de cadeau paternel, même si elle venait de mon aïeule décédée de vieillesse, elle avait bien vécu la vieille femme attendrissante, selon mes vagues souvenirs de bambin, étrange que cela soit resté en mes souvenirs, mais après tout, il y a des choses qui restent ancrées en notre mémoire tellement elles sont intenses. Je pris Bellina avec moi après m’être soigneusement préparé pour le bal fait par mon oncle et mon père pour l’anniversaire de ma chère cousine élégamment vêtu d’une robe froufrou volant beige et de somptueux accessoires faites uniquement de pierres précieuses et de rares métaux que l’on ne trouvait pas partout. Je m’inclinai tout doucement une fois en face d’elle avant de me relever pour la complimenter ce qui ne la laissa pas indifférente comme je le pensais. Lorsque l’orchestre commença, je m’approchai un peu plus d’elle :

-Voulez-vous bien m’accorder cette danse, très chère ?
Elle fit un petit signe de tête timide avant de me prendre la main et nous commençâmes donc à danser tranquillement, me laissant bercer par la musique, j’oubliai peu à peu ma partenaire que j’épargnais pour le moment de mon fameux gâteau que j’avais laissé avec Bellina sur une chaise qui m’était réservé. La musique était divine, lorsque je finirai ce que j’ai à faire, je jouerai avec l’orchestre en rajoutant ma guitare électrique, mais qu’est-ce que donnerait un mélange entre mon instrument et d’autres instruments à corde bien différents du mien ? Nous verrons bien le moment venu. Lorsque la danse s’acheva, je m’inclinai et fis signe à ma cousine de venir afin qu’elle puisse manger ce que j’avais préparé juste pour elle.

-Puisse le ciel vous faire apprécier mon gâteau, j’y ai mis toute mon âme.
Elle sourit et pris sa part de gâteau avec joie et s’attaqua à son assiette devant mon sourire narquois qu’elle n’avait guère remarqué pus je la vis se figer et ses joues devenir rouges, j me retint de rire avant de prendre un air désolé.

-Qui y’a –t-il ? Il n’est pas bon ?

-Non tout vas bien, il est délicieux j-je vais…continuer…
Comme je le pensais, elle m’aimait tellement qu’elle ne voulait me froisser et continua de manger mon abominable gâteau à mon plus grand plaisir, je voulais qu’elle continue, qu’elle le mange entièrement, son air de souffrance me plaisait, je voulais le voir chaque jour et chaque nuit, cela l’embellissait tellement.

-Ophelina cessez immédiatement de manger ce gâteau !
Bellina…
-N-non, il est délicieux !
À la dernière bouchée, elle déposa l’assiette, le visage complètement rouge et couru se servir à boire en essayant de camoufler ses toussotements, je la fixai, ravie tandis que je sentais le regard brûlant de Bellina posé sur moi.

-Polwen, vas t’excuser immédiatement !

-Tu n’as pas apprécié son petit minois défiguré par la douleur ?

-Polwen…

-Très bien, très bien, pour m’excuser, je vais lui proposer une autre danse ![/i
]
Sur ces mots je partis la rejoindre, pour danser avec elle et les autres, amusé avant d’écouter la nouvelle musique très rythmé, je souris avant de me mettre à frapper des mains et du pied en chantonnant un souhait qui me tenais à cœur mais brusquement, sans que je puisse comprendre pourquoi, sous mes yeux, un tambourin s’écrasa au sol, un tambourin, neuf à première vu. La musique s’arrêta et les regards se tournèrent vers moi. Je n’en croyais mes yeux, je me penchai pour prendre l’instrument sous les yeux surpris de ma cousine, se remettant petit à petit de ma farce. Mes yeux s’écarquillèrent de plus en plus :

- Qu’est-ce qu’il se passe ? C-coment c’est arrivé ici ?!

-A-lice.
Je me tournai vers Bellina qui se trouvait près de moi, la tête levé vers moi

-De quoi?

-A-lice.

-Alice ?

Ophelina sembla comprendre alors ce que disais ma chère poupée et esquissas tout doucement un sourire avant de prendre un air sur d’elle :

-Alice, c’est un don que possèdent certaines personnes !

-Hein ?

-Et toi, mon cher Polwen, tu es l’un de ces êtres dotés de l’alice. Tu sembles pouvoir invoquer ce que tu souhaites.

Mais qu’est-ce qu’ils racontent ? Je n’ai pas d’alice et puis je ne connaissais même pas ce genre de capacité enfin…Maintenant que j’y songeai, c’était mon aïeule qui avais donné vie à ma poupée mais étant très très jeune à l’époque, je n’ai pas pensé à la manière dont elle avait réussi cet exploit.

-Finalement tu as hérité d’un alice aussi.

C’était mon père, le regard chaleureux comme celui de ma mère qui arriva tout de suite après. Je les observais avec méfiance.

-Tu es finalement complètement comme nous tes parents, un possesseur d’alice...
***
-Ah…je déteste l’alice, ce n’est pas possible, une vie aussi facile est si ennuyante que même un rendez-vous avec la mort serait divertissant. Heureusement, bientôt je ne l’utiliserai plus accidentellement.

Je le regardais d’un air plutôt dubitatif face à ses réactions plus que déplaisante, un enfant trop gâté, c’est ce qu’il était, un être pessimiste doublé d’un pauvre idiot dénué de raison. Plus mon cher Polwen grandissait plus je me posais cette question : mais d’où vient-il ?
Ses parents, des êtres bien plus que bienveillant, s’occupaient de lui avec le personnel de maison, aussi chaleureux et familial que ses réels membres de familles, tous s’acharnaient à lui offrir une vie facile et paisible, mais ce pauvre Polwen ne cessait de se plaindre, cela me tapait sur mes nerfs inexistants. Depuis quelques jours, j’avais suggéré à ses parents de l’envoyer à Gakuen alice, un pensionnat que j’avais réussi à trouver après quelques petites recherches d’école pour humains possédant son genre de don, comme ce diablotin était un élève très studieux n’ayant que de très bon résultats et un comportement exemplaire en cours, aucunes difficultés à le faire entrer. Bien sûr, comme je ne voulais pas faire cela dans son dos, je l’avais mis au courant et étrangement, il n’avais pas bronché enfin étrangement… Depuis qu’il le savait, celui-ci avait déjà demandé à ce que l’on fasse ses valises, impatient d’y être pour la raison de trouver un moyen de pouvoir ne pas l’utiliser.

-Tu te rends compte ? On va rencontrer d’autres personnes comme nous ! Dommage que l’on y va pas en même temps, tant pis je te rejoindrai plus tard !

Depuis quelques mois, Ophelina avait elle-même développé un alice assez particulier, peut-être étais-ce dû à son envie d’en posséder un car aucun membre de sa famille en avais contracté.

-Qu’est-ce que cela peux bien m’apporter ? Ce que je souhaite n’est pas du tout cela.

-Qu’est-ce que tu es pessimiste mon cher.

Il ne m’adressa aucun regard et se rendit dans le salon, un étage plus bas avec Ophelina qui finit par me prendre pour descendre les escaliers. La limousine noire nous attendait à l’extérieur et devant la porte, se trouvaient les parents de mon petit-enfant pourri gâté. Polwen se dirigea vers ses parents qui tendirent les bras pour l’étreindre.

-Ceci n’est point un adieu alors je vous prierai de bien vouloir me lâcher

Ils finirent par accepter sa requête et le laissèrent respirer à son aise.

-Bon, je dois y aller, on se voit plus tard hein ?

-N’oublies de nous appeler ou de nous envoyer des lettres !

-J’essayerai de m’en souvenir.

Bien entendu, il n’avait pas juré et comme je le connaissais comme si je l’avais créé, il se répétait intérieurement que cela pourrait le laisser le droit de ne pas y penser, quel petit ingrat n’est-ce pas ? Lorsqu’il se rendit à la limousine avec moi et que l’on y monta, il adressa un dernier regard complètement imperturbable, comme si le fait de se séparer de sa famille le laissa de marbre. Tu te mis à songer à ce moment si particulier qui marqua un grand changement dans ta vie. Quand cette personne dont tu ignorais l’identité et savais simplement qu’il venait de cette organisation, anti-alice, vint te voir lorsque tu fus seul dans le jardin de la maison bien que le personnel et ta famille fut dans le manoir, pour te faire entrer dans l’organisation. Tu avais dis oui, pour quel raison ? Je l’ignorais, sans doute sur un coup de tête…
La voiture démarra et il détourna le regard pour fermer les yeux et se reposa tranquillement sans rien laisser paraître. À cet instant, je regrettai complètement de ne pas pouvoir lire dans tes pensées Polwen…


Who I am?
In your real Life...

Pseudo :Spécimen, ouais ouais
Age : Bientôt 18 ans
Dc?No
Comment as-tu connu le forum?Hasard je pense
Comment l'améliorer :Hum, je n’ai pas réellement d’idée je l’aime comme il l’est
Notre code :Super Patate valide ♥
Un petit plus?Hello ♥


"Are you ready ?"


Dernière édition par Polwen N.Ferrell le Mar 7 Juin - 15:11, édité 11 fois
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Sasha Mellark
Patate insoumise et inconciente
Sasha Mellark
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Age : 27
Localisation : Pariiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ♥

Informations Alice
Votre Alice:
Possession(s):
Occupation: Classes 5 section Littérature niveau M
MessageSujet: Re: la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%]   la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%] EmptySam 21 Mai - 19:21

Hey ! Hey ! Hey !

Bienvenue à toi petit Alice ~

Je vais te laisser finir ta fiche avant toutes choses x3

MAIS UN ANTI-ALICE GOSH ♥

Courage petit Alice, n'hésite pas à m'envoyer un mp si tu as besoin :)
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la plus grande souffrance, c'est celle de n'en avoir jamais eu.[100%]

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